La Commission Européenne autorise LAZCLUZE®▼ (lazertinib) en association avec le RYBREVANT®▼ (amivantamab) dans le cadre du traitement de première intention du cancer du poumon non à petites cellules avancé chez les patients porteurs d’une mutation de l’EGFR


Les dernières données de haut niveau issues de la Phase 3 de l’étude MARIPOSA montrent que l’amivantamab en association avec le lazertinib est le premier schéma thérapeutique à démontrer un bénéfice supérieur en matière de survie globale par rapport au traitement de référence actuel reposant sur l’osimertinib1

L’amélioration de la durée médiane de survie globale devrait dépasser un an1

BEERSE, Belgique, 27 janv. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, annonce ce jour l’autorisation de mise sur le marché (AM) validée par la Commission Européenne (CE) de LAZCLUZE®▼ (lazertinib), en association avec RYBREVANT®▼ (amivantamab) dans le cadre du traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé et porteurs de mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) par délétions de l’exon 19 (ex19del) ou substitutions L858R (L858R) de l’exon 21.

L’approbation de la CE est étayée par les résultats de la Phase 3 de l’étude MARIPOSA (NCT04487080) portant sur le lazertinib en association avec l’amivantamab par rapport à l’osimertinib en tant que traitement de première intention chez les patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique porteurs de mutations ex19del de l’EGFR ou de mutations L858R par substitution de l’exon 21.2 L’étude a atteint son critère d’évaluation principal de survie sans progression (SSP).2 Ces données ont été exposées durant un symposium présidentiel au Congrès 2023 de l’European Society of Medical Oncology (ESMO) et des données de suivi à plus long terme présentées lors de l’édition 2024 de la Conférence internationale sur le cancer du poumon (WCLC) de l’International Association for the Study of Lung Cancer (IASLC).3,4

Le 7 janvier 2025, J&J a annoncé de nouveaux résultats positifs sur les données de haut niveau de survie globale (SG) montrant que l’amivantamab en association avec le lazertinib a atteint le critère d’évaluation secondaire prédéterminé final de la SG et a démontré une amélioration clinique importante et statistiquement significative de la SG par rapport au traitement de référence actuel, l’osimertinib en monothérapie.1 La SG médiane devrait dépasser un an.1 Ces données de référence de SG seront présentées à l’occasion d’une prochaine réunion médicale.

« Ce schéma thérapeutique sans chimiothérapie a déjà démontré des améliorations significatives en matière de survie sans progression et de nouvelles données de haut niveau suggèrent qu’il devrait permettre d’augmenter la durée de vie médiane d’un an ou plus des patients atteints d’un CPNPC avec mutation de l’EGFR non traité par rapport au traitement de référence actuel, avec l’osimertinib, » déclare Antonio Passaro*, M.D., Ph.D., Oncologue Médical au Service d’Oncologie Thoracique de l’Institut Européen d’Oncologie de Milan, en Italie. « Ces résultats marquent une avancée significative dans le traitement d’un CPNPC avec mutation de l’EGFR. L’augmentation de l’espérance de vie est un indicateur crucial de l’effet d’un traitement. L’étude MARIPOSA confirme le potentiel de ce traitement combiné en traitement de première intention, afin de redéfinir le traitement de référence et d’offrir des améliorations cliniques significatives des résultats chez les patients. »

Les résultats précédemment rapportés de l’étude MARIPOSA ont démontré que le profil d’innocuité de l’association de l’amivantamab et du lazertinib était cohérent avec les profils rapportés par les études des Phases 1 ou 2, avec principalement des effets indésirables (EI) de Grade 1 ou 2.2 La toxicité était largement gérable avec des interruptions et des réductions de doses, accompagnées de mesures de soins complémentaires, généralement utilisées dans le traitement des patients atteints d’un CPNPC.2 Les effets indésirables apparus sous traitement les plus courants, indépendamment de leur grade, étaient la paronychie (68 pour cent), les réactions liées à la perfusion (63 pour cent) et une éruption cutanée (62 pour cent).2 L’association de l’amivantamab et du lazertinib présentait des taux plus élevés d’EI liés à l’EGFR et à la TEM et de thromboembolie veineuse par rapport à l’osimertinib, à l’exception de la diarrhée, dont les taux étaient supérieurs pour l’osimertinib.2 Les effets indésirables de Grade 3 ou supérieur apparus sous traitement les plus couramment observés étaient une éruption cutanée (15 pour cent), la paronychie (11 pour cent), une dermatose acnéiforme (8 pour cent) et une embolie pulmonaire (8 pour cent).2 Le taux d’arrêt de tous les traitements de l’étude en raison d’effets indésirables liés au traitement pour l’association de l’amivantamab et du lazertinib était de 10 pour cent.2 Le taux de pneumopathies interstitielles (dont la pneumonie) était de trois pour cent dans les deux bras.2

« Actuellement, le taux de survie de cinq ans des patients atteints d’un CPNPC avancé avec des mutations de l’EGFR traitées par des inhibiteurs de la tyrosine kinase de l’EGFR est de moins de 20 pour cent, » a déclaré Henar Hevia, Ph.D., Directrice Principale du Secteur Thérapeutique EMEA pour l’Oncologie. « L’approbation accordée aujourd'hui constitue un moment important dans le traitement du cancer du poumon, offrant de nouvelles options aux patients à travers un schéma thérapeutique sans chimiothérapie et potentiellement davantage de temps avec leurs proches. »

Cette décision de la CE accompagne une approbation similaire de la CE datant de décembre 2024 concernant une modification de l’extension pour une indication de Type SAII pour l’anticorps bispécifique amivantamab, en association avec le lazertinib pour le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.5

-FIN-

Notes aux rédacteurs

À propos de l’étude MARIPOSA
L’étude MARIPOSA (NCT04487080), qui a inclus 1 074 patients, est une étude randomisée de Phase 3 évaluant l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib et au lazertinib en monothérapie dans le traitement de première ligne des patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations ex19del de l’EGFR ou substitution L858R de l’exon 21.2 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la SSP (selon les critères RECIST v1.1) évaluée en relecture centralisée par un comité indépendant.2 Les critères d’évaluation secondaires comprennent la survie globale (SG), le taux de réponse global (TRG), la durée de réponse (DR), la deuxième survie sans progression (SSP2) et la SSP intracrânienne.2

L’étude a atteint son critère d’évaluation principal, à savoir la survie sans progression (SSP) et avec un suivi médian de 22 mois, l’association de l’amivantamab et du lazertinib a permis d’observer une réduction du risque de progression de la maladie ou de décès de 30 pour cent par rapport à l’osimertinib (SSP médiane : 23,7 mois contre 16,6 mois ; risque relatif [RR]= 0,70 ; intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 0,58-0,85; P<0,001), selon l’évaluation d’un comité de relecture centralisée (ou BICR, de l’anglais blinded independent central review).2 La durée de réponse (DR) médiane était plus longue pour les patients recevant de l’amivantamab et du lazertinib par rapport à ceux recevant de l’osimertinib et s’accompagnait d’une amélioration de neuf mois (25,8 contre 16,8 mois).2

L’étude MARIPOSA exigeait que tous les patients subissent une série d’imageries cérébrales obtenues par résonance magnétique (IRM), élément important pour une maladie où presque 30 pour cent des patients développent des métastases cérébrales.2,6 Le critère d’évaluation principal de l’étude MARIPOSA, la SSP, intégrait les effets liés au système nerveux central (SNC) détectés lors des séries d’IRM cérébrales.2 Au moment de la censure des premières données de progression impliquant le SNC uniquement, la SSP médiane était de 27,5 mois pour l’association amivantamab plus lazertinib, contre 18,4 mois pour l’osimertinib (RR= 0,68; IC à 95 pour cent, 0,55-0,83; P<0,001**).2,4

À propos du Lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc., a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement du lazertinib. Le lazertinib est un inhibiteur de la tyrosine kinase de troisième génération, administré par voie orale qui pénètre dans le cerveau et cible à la fois la mutation T790M et les mutations activatrices de l’EGFR, tout en épargnant l’EGFR de type sauvage.7 Une analyse de l’efficacité et de l’innocuité du lazertinib issue des données de la Phase 3 de l’étude LASER301 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.7

▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, le lazertinib fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.    

À propos de l’Amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique anti EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et ce, en s’appuyant sur le système immunitaire.8,9,10,11

La Commission Européenne (CE) a accordé une autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab selon les indications suivantes :5,12

  • En association avec le lazertinib pour le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.
  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, après échec d’un traitement antérieur incluant un ITK de l’EGFR.
  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR.
  • En monothérapie, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.

En mai 2024, une demande d’extension de l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab a été déposée en vue d’obtenir l’autorisation de l’utilisation d’une formulation sous-cutanée (SC) de l’amivantamab en association avec le lazertinib dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR de type ex19del ou L858R, et pour l’utilisation de l’amivantamab en monothérapie par voie SC chez les patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.13

Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications ainsi que les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit.12

▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.   

À propos du Cancer du Poumon Non à Petites Cellules
On estime qu’en Europe, un cancer du poumon a été diagnostiqué chez 484 306 personnes en 2022.14 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.15 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, responsable de plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.14

Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.15 Parmi les mutations driver les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.15,16 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.17,18,19,20 Les mutations ex19del ou L858R de l’exon 21 sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.21 Le taux de survie à cinq ans pour les patients atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR, traités par des ITK de l’EGFR, est inférieur à 20 pour cent et entre 25 et 32 pour cent des patients recevant l’osimertinib, le traitement de première intention de référence actuel, ne restent pas en vie suffisamment longtemps pour pouvoir bénéficier du traitement de deuxième ligne.22,23,24

À propos de Johnson & Johnson    
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force, en termes d’innovation, dans les soins de santé nous permet de construire un monde dans lequel nous contribuons à la fois à prévenir et à soigner les maladies complexes, où les traitements sont plus adaptés et moins invasifs et où les solutions sont personnelles. Grâce à notre expertise dans le domaine de la médecine innovante et des technologies médicales, nous sommes les plus à même d’apporter des innovations à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui pour faire advenir les avancées de demain et avoir un impact majeur sur la santé de l’humanité.    

Pour en savoir plus, consultez le site https://innovativemedicine.jnj.com/emea/. Suivez-nous sur https://www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea/. Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc. et Janssen-Cilag, S.A. sont des sociétés de Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives 
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » au sens de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995, et relatives au développement des produits et aux bénéfices potentiels ainsi qu’à l’effet du traitement par amivantamab et lazertinib. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou des incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, de manière non exhaustive, les enjeux et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, notamment l’incertitude du succès clinique et d’obtention des autorisations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, et particulièrement les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par nos concurrents ; les contestations de brevets ; les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les changements de comportement et des habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé ; les évolutions juridiques et réglementaires applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2024, y compris dans les sections intitulées « Mises en garde relatives aux déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque », ainsi que dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sous formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs.   

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* Le Professeur Passaro a été consultant pour Janssen-Cilag International NV ; il n’a pas été rémunéré pour son travail auprès des médias.

** Valeur nominale P ; ce critère d’évaluation était exploratoire et ne faisait pas partie des tests d’hypothèses hiérarchiques.

 Les critères RECIST (version 1.1) font référence aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, qui constituent une méthode standard de mesure de la réponse des tumeurs solides au traitement et qui se basent sur le fait que les tumeurs rétrécissent, restent les mêmes ou grossissent.

1 https://innovativemedicine.jnj.com/. RYBREVANT® (amivantamab-vmjw) plus LAZCLUZE™ (lazertinib) show statistically significant and clinically meaningful improvement in overall survival versus osimertinib. Disponible à l’adresse :https://www.jnj.com/media-center/press-releases/rybrevant-amivantamab-vmjw-plus-lazcluze-lazertinib-shows-statistically-significant-and-clinically-meaningful-improvement-in-overall-survival-versus-osimertinib. Consulté en janvier 2025.

2 Cho BC, et al. Amivantamab Plus Lazertinib in Previously Untreated EGFR-Mutated Advanced NSCLC. The New England Journal of Medicine 2024. doi:10.1056/NEJMoa2403614. Disponible à l’adresse : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2403614. Consulté en janvier 2025.

3 Gadgeel SM, et al. Amivantamab Plus Lazertinib vs Osimertinib in First-line EGFR-mutant Advanced NSCLC: Longer Follow-up of the MARIPOSA Study. IASLC WCLC 2024. 8 septembre 2024.

4 Cho BC P, et al. Amivantamab Plus Lazertinib vs Osimertinib as First-line Treatment in Patients With EGFR-mutated, Advanced Non-small Cell Lung Cancer (NSCLC): Primary Results From MARIPOSA, a Phase 3, Global, Randomized, Controlled Trial. Congrès de l’European Society for Medical Oncology 2023. 23 octobre 2023

5 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. European Commission approves RYBREVANT®▼ (amivantamab) in combination with LAZCLUZE®▼ (lazertinib) for the first-line treatment of patients with EGFR-mutated advanced non-small cell lung cancer. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/european-commission-approves-rybrevant-amivantamab-in-combination-with-lazcluze-lazertinib-for-the-first-line-treatment-of-patients-with-egfr-mutated-advanced-non-small-cell-lung-cancer. Consulté en janvier 2025.

6 Fuchs J, et al. Resection of isolated brain metastases in non-small cell lung cancer (NSCLC) patients – evaluation of outcome and prognostic factors: A retrospective multicenter study. PLoS ONE. 16(6):e0253601. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0253601.

7 Cho, BC, et al. Lazertinib versus gefitinib as first-line treatment in patients with EGFR-mutated advanced non-small-cell lung cancer: Results From LASER301. J Clin Oncol. 2023;41(26):4208-4217.

8 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. MAbs 2017;9(1):114-126.

9 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.

10 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov 2020;10(8):1194-1209.

11 Vijayaraghavan S, et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther 2020;19(10):2044-2056.

12 European Medicines Agency. Amivantamab Summary of Product Characteristics. Août 2024. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Consulté en janvier 2025.

13 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. Johnson & Johnson submits application to the European Medicines Agency seeking approval of subcutaneous formulation of RYBREVANT®▼ (amivantamab) for the treatment of patients with EGFR-mutated non-small cell lung cancer. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/newsroom/oncology/johnson-johnson-submits-application-to-the-european-medicines-agency-seeking-approval-of-subcutaneous-formulation-of-rybrevant-amivantamab-for-the-treatment-of-patients-with-egfr-mutated-non-small-cell-lung-cancer. Consulté en janvier 2025.

14 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/populations/908-europe-fact-sheet.pdf. Consulté en janvier 2025.

15 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res. 2016;5(3):288–300.

16 Wee P & Wang Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers. 2017;9(12):52.

17 Pennell NA, et al. A phase II trial of adjuvant erlotinib in patients with resected epidermal growth factor receptor-mutant non-small cell lung cancer. J Clin Oncol. 2019;37(2):97-104.

18 Burnett H, et al. Epidemiological and clinical burden of EGFR exon 20 insertion in advanced non-small cell lung cancer: a systematic literature review. Extrait présenté à l’occasion de la Réunion annuelle de la Conférence mondiale sur le cancer du poumon (Singapour) ; 29 janvier 2021.

19 Zhang YL, et al. The prevalence of EGFR mutation in patients with non-small cell lung cancer: a systematic review and meta-analysis. Oncotarget. 2016;7(48):78985- 78993.

20 Midha A, et al. EGFR mutation incidence in non-small-cell lung cancer of adenocarcinoma histology: a systematic review and global map by ethnicity. Am J Cancer Res. 2015;5(9):2892-2911.

21 American Lung Association. EGFR and Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.lung.org/lung-health-diseases/lung-disease-lookup/lung-cancer/symptomsdiagnosis/biomarker-testing/egfr. Consulté en janvier 2025.

22 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol. 2016;11(4):556-65.

23 Nieva J, et al. A real-world (rw) observational study of long-term survival (LTS) and treatment patterns after first-line (1L) osimertinib in patients (pts) with epidermal growth factor receptor (EGFR) mutation-positive (m) advanced non-small cell lung cancer (NSCLC). Ann Oncol. 2023;34, S774.

24 Girard N, et al. Mortality among EGFR-mutated advanced NSCLC patients after frontline osimertinib treatment: A real-world, US attrition analysis. J Thorac Oncol. 2023;18(4), S51-52.

CP-495950
Janvier 2025

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